Franck, collègue depuis 20 ans, devenu ami, je retiendrais ta joie de vivre, ta bonne humeur, ta bienveillance.
Plus encore, ton souci du bien-être des autres.
Alors oui, les pauses café, les déjeuners partagés étaient des moments de bonheur. De même que les discussions autour de l’actualité, les sciences, la moto, les voitures anciennes et bien sur les enfants.
Sensiblement du même âge que les miens, je les ai vu grandir au travers de tes propos et de la fierté que tu ressentais.
C’est pour tout cela que tu resteras dans ma mémoire.
Au revoir Franky.