Je pense à toi, Françoise, dans ce moment particulièrement douloureux et éprouvant, pour te dire tout mon soutien et ma tristesse. Les images de Catherine me reviennent, elles me ramènent trente ans plus tôt, lorsque je la fréquentais durant un été nantais. Je n'ai jamais su, depuis, ce qu'elle était devenue. Tu n'avais pas toujours de nouvelles d'elle me confiais-tu lorsque je t'ai recroisé en 2006, je crois. Je t'embrasse bien fort